Henri NETTER

1924 - 1944 | Naissance: | Arrestation: | Résidence:

Henri NETTER

Extrait de la biographie réalisée par l’AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation de l’Allier):
est né le 19 septembre 1924 au domicile de ses parents 7, rue Kant à Strasbourg (67). Son père Alphonse est droguiste et sa mère Pauline née WOLFF est sans profession. Coiffeur célibataire il est domicilié 49, rue du Vieux Marché aux Vins à Strasbourg.Il quitte Strasbourg pour se réfugier à Périgueux (24) où il réside rue Eguillerie. Selon une lettre du Préfet de la Dordogne, Henri NETTER « était employé dans cette dernière ville en qualité de garçon coiffeur chez M.BERNARD, rue Limojeanne, jusqu’en 1943, date à laquelle il a été convoqué pour le S.T.O. et dirigé sur Cherbourg » […]

Reproduction du texte et des images

Toute reproduction même partielle d'une biographie doit donner lieu à un accord préalable par écrit de l'association. Pour demander une autorisation, merci de remplir le formulaire ci-dessous : Formulaire

Pour toute utilisation d'une image provenant du Service Historique de la Défense (SHD), merci de vous rendre sur leur service en ligne "Demander une reproduction".

1 commentaire
  1. klejman laurence 5 ans ago

    Henri NETTER « a été vu pour la dernière fois dans la gare de Montargis (Loiret). Il était avec d’autres civils arrêtés, accompagnés par des gendarmes allemands. Ils ont pris le train en direction de Paris.  » selon le témoignage de Alfred Ihly, rapporté par sa tante, Marie Netter, 20 rue de Vintimille, Paris 9e: dossier 21 P 250 277 archives DAAVC Caen
    Résidait 11, rue Eguillerie à Périgueux et, avant cela à STRASBOURG, 39, rue du Vieux-Marché aux Vins, où vit toujours, en 1954, sa mère Brunette, dite Pauline, née WOLF, veuve, .
    Arrêté le 14 juillet 1944 à Vichy.
    Son père, Alphonse, né le 20/11/1901 à Marmoutier (Bas Rhin), arrêté à son domicile le 10 août 1943, il a été déporté par le convoi 59. Il aurait été dénoncé, selon REVIRIEGO, in, Les Juifs en Dordogne.
    Après l’arrestation de son père, il craignait d’être arrêté, « est parti pour Mamers, puis Montargis où il pensait trouver du travail. Sa famille est sans nouvelles de lui depuis mars 1944 ». La préfecture donne la version du STO Cherbourg puis région parisienne, sa mère celle d’une arrestation avec des réfractaires au STO, mais elle demandait le statut de Mort pour la France et Déporté politique.

Répondre

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

hébergement Umazuma - OVH

Se connecter

Oubli de mot de passe ?