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Henri NETTER « a été vu pour la dernière fois dans la gare de Montargis (Loiret). Il était avec d’autres civils arrêtés, accompagnés par des gendarmes allemands. Ils ont pris le train en direction de Paris. » selon le témoignage de Alfred Ihly, rapporté par sa tante, Marie Netter, 20 rue de Vintimille, Paris 9e: dossier 21 P 250 277 archives DAAVC Caen
Résidait 11, rue Eguillerie à Périgueux et, avant cela à STRASBOURG, 39, rue du Vieux-Marché aux Vins, où vit toujours, en 1954, sa mère Brunette, dite Pauline, née WOLF, veuve, .
Arrêté le 14 juillet 1944 à Vichy.
Son père, Alphonse, né le 20/11/1901 à Marmoutier (Bas Rhin), arrêté à son domicile le 10 août 1943, il a été déporté par le convoi 59. Il aurait été dénoncé, selon REVIRIEGO, in, Les Juifs en Dordogne.
Après l’arrestation de son père, il craignait d’être arrêté, « est parti pour Mamers, puis Montargis où il pensait trouver du travail. Sa famille est sans nouvelles de lui depuis mars 1944 ». La préfecture donne la version du STO Cherbourg puis région parisienne, sa mère celle d’une arrestation avec des réfractaires au STO, mais elle demandait le statut de Mort pour la France et Déporté politique.