Hermann HAGENAUER

1889 - 1944 | Naissance: | Arrestation: | Résidence: ,

Hermann HAGENAUER

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Für unsere deutschsprachigen Leser*innen: Die Biografie ist unterhalb der französischen Version auch auf deutsch verfügbar.
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Le 5 octobre 1889, Hermann Hagenauer est né à Weingarten,il était le 13ème enfant et fils cadet de la famille. Comme ses frères aînés avant lui, il apprend le métier de boucher après avoir fini l’école primaire. Au début de la Première Guerre mondiale, il est enrôlé et s’est vu décerner le Eisernes Kreuz pour son « service à la patrie » en tant que Frontkämpfer (combattant de front).
En 1920, il épouse Rosa Dreyfuss, née le 23 avril 1899 à Schmieheim in der Ortenau, fille du commerçant Viktor Dreyfuss et de son épouse Sophie, née Grumbacher. Après leur mariage, Rosa et Hermann Hagenauer ont choisi la ville de Karlsruhe comme résidence vers 1920/21, où ils logeaient au Kaiser-Allee 19, au 3ème étage. Déjà en 1902/1903, les frères aînés Nathan et David Hagenauer avaient ouvert une boucherie à Karlsruhe. Après le mariage de Hermann, ils lui ont transmis la succession. Le 26 décembre 1921, Kurt Siegfried est né, il sera l’unique enfant du couple. Il a ensuite été inscrit au lycée Goethe Realgymnasium après l’école primaire en 1932.
Après la nomination d’Adolf Hitler au poste de Reichskanzler, la terreur s’étendit en Allemagne en 1933 à tel point qu’il y eut des actions de boycott massives et largement répandues contre les magasins juifs. Des représailles contre les marchands de bétail et les bouchers juifs commencèrent bientôt et, en 1933, une interdiction d’abattage fut imposée. Lorsque les revenus ont diminué dans la période suivante, Hermann Hagenauer a certainement commencé à penser à l’émigration, avant même que sa situation économique fut devenue trop précaire. Mais la décision d’émigrer n’a pas été prise par lui-même. Elle est en rapport avec sa biographie familiale.
Son père, Benjamin, était originaire d’Alsace. Après la guerre franco-allemande et suivant le traité de paix de 1871, l’Alsace et la Lorraine étaient tombées aux mains de l’Empire allemand. Les citoyens étaient devenus ensuite Reichsdeutsche. Ceux qui ne le voulurent pas, furent obligés de prendre la nationalité française et s’installer en France.
Benjamin Hagenauer resta à ce moment dans sa ville natale et se maria avec Mina Seligmann Fuchs de Weingarten, la fille d’un boucher. Leur premier fils, Albert, est né en 1875 à Bergheim/Alsace. En octobre 1876, sa fille Bertha est née à Weingarten, où la famille s’était ensuite installée et où son père Benjamin tenait une boucherie.
En 1934, le gouvernement national-socialiste convoque Hermann Hagenauer « pour lui expliquer qu’il est français », à cause des origines de son père. Charles Henry Guérin, consul de France à Karlsruhe, « lui a alors délivré un passeport français », a écrit son fils Kurt beaucoup d’années plus tard dans la procédure dite de réparation (Wiedergutmachungsverfahren). A sa demande d’accès aux dossiers de naturalisation de 1920, dans lesquels la citoyenneté badoise lui avait été accordée, l’Office des passeports et de l’enregistrement l’informa que l’on ne pouvait confirmer que son père Hermann avait été naturalisé le 28 janvier 1920 au sein de l’association nationale allemande car les dossiers n’étaient plus disponibles. Cependant, la note suivante du 16 septembre 1935 a été conservée : « La naturalisation de Hermann Hagenauer a été révoquée par décret du Ministre de l’intérieur du 13 juillet 1935 n° 63123. La révocation ne s’étend pas à la femme, mais au fils Kurt. »
Hermann Hagenauer, après que sa naturalisation eut été révoquée en 1935, s’est certainement vu fixer une date pour quitter le pays. Fin 1935, il a vendu le stock de sa boucherie à un maître boucher Baumann à un prix dérisoire, selon son fils. Déjà en décembre 1935, le maître boucher Reinhold Baumann était le nouveau propriétaire de la boucherie dans la Schillerstraße 16. On ne connait pas la date exacte de l’émigration de Hermann et Kurt Hagenauer ; sa femme pouvait rester chez son beau-frère Nathan et sa femme Thekla dans la Vorholzstraße 38, pendant qu’elle attendait son passeport pour partir à l’étranger.
En 1936, toute la famille était arrivée à Strasbourg. A cette époque, elle avait peut-être déjà écrit le nom de famille avec l’orthographe française « Haguenauer », que le consul de France avait peut-être déjà utilisé pour délivrer le passeport français. Hermann était devenu « Armand » et Siegfried Kurt « Claude ». La famille ne pouvait pas subsister  par elle-même. Hermann Hagenauer a trouvé un emploi comme acheteur de bétail chez un négociant de l’abattoir. Son salaire initial de 3 000 francs français a augmenté au cours des années suivantes pour atteindre environ 500 Reichsmark. Mais en 1939, il n’était plus en mesure d’exercer cette activité. Au cours de son travail, il avait contracté un flegmon, une inflammation purulente. A une époque où aucun antibiotique n’était disponible, l’inflammation s’est aggravée à tel point que son bras gauche a dû être amputé.
Lorsque la population civile a été évacuée au début de la guerre en 1939, la famille Hagenauer partit à Lyon. Concernant le passeport d’Hermann Hagenauer, « sa pièce d’identité n’était pas conforme au règlement de police, puisqu’il n’était pas enregistré auprès de la police au moment de l’enregistrement des Juifs français » et son passeport n’était donc pas marqué d’un « J », écrit le fils plus tard. Pour ne pas attirer l’attention, ils ne quittaient jamais leur appartement à Lyon. Son fils Claude décrit les problèmes particuliers de ses parents : « Avec l’occupation de Lyon par les troupes allemandes en novembre 1942, la situation … devenait très critique car ils ne parlaient pas français. Ils ont obtenu de faux passeports, celui de Rosa Hagenauer était sur le nom de Rosine Dreyer. Ils ont quitté leur appartement au 78 avenue de Saxe sans y renoncer ». Ils ont alors trouvé refuge dans la rue de la Ruche à Montchat – Lyon avec la famille Petitpierre. Le fils de 21 ans, Kurt, aujourd’hui Claude, a travaillé jusqu’à son arrestation comme plombier pour la société « Bodevigie » à Lyon et a soutenu financièrement ses parents. Des amis (français) ramassaient leurs cartes de rationnement alimentaire, faisaient des achats pour eux, sinon ils auraient été repérés immédiatement.
Mais ils furent dénoncés à la Gestapo. Le 26 juin 1944, Hermann Hagenauer fut arrêté dans l’appartement. Il est alors interné à Montluc près de Lyon, et puis transféré à Drancy. Finalement on le déporte à Auschwitz le 31 juillet 1944. Probablement, il a été tué immédiatement après son arrivée, à cause de son bras amputé, et donc incapable de travailler. La date du 5 août 1944 est mentionnée dans quelques sources.
Sa femme Rosa « s’était tenue derrière la porte de la chambre, qui s’ouvrait vers l’intérieur, et elle resta ainsi cachée des nazis ». A partir du 31 août 1944 elle ne fut plus obligée de se cacher, comme la France venait d’être libérée par les troupes alliées. Claude Hagenauer n’a mentionné son arrestation, à laquelle il a survécu, qu’en ce qui concerne l’état de santé de sa mère. Il a écrit que l’arrestation de son mari et de son fils avait conduit à une « insomnie presque complète ». Elle était dépendante de la prise constante de médicaments lourds, ce qui entraîna de graves lésions rénales. Rosa Hagenauer meurt à Lyon le 11 février 1946, à l’âge de 45 ans.
(Christa Koch, décembre 2013)
Annexe 2018:
En France, Kurt Hagenauer (Claude Haguenauer) fait partie de la Résistance. Aujourd’hui, on sait aussi qu’il a été arrêté peu après son père et arriva à Auschwitz via Drancy en août 1944. Il fut sélectionné pour travailler, et il a survécu et a vécu l’évacuation d’Auschwitz, avant d’être envoyé au camp de Mauthausen le 30 janvier 1945. Le 16 février 1945 il est transféré au camp de Gusen d’où il est libéré le 5 mai 1945.

Un gros merci au Stadtarchiv Karlsruhe, qui a mis la biographie à la disposition pour notre travail, à Greta Hamidi, volontaire allemande au Mémorial de la Shoah à Paris et à Léon Senner, étudiant de Sciences Po à Paris.
Vous pouvez lire la version originale ici : http://gedenkbuch.informedia.de/index.php/PID/12/name/1456/suche/H.html

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Biografie von Hermann HAGENAUER

Hermann Hagenauer kam als zwölftes von insgesamt 13 Kindern und als jüngster Sohn am 5. Oktober 1889 in Weingarten zur Welt. Wie vor ihm die älteren Brüder, erlernte auch er nach der Grundschule das Metzgerhandwerk. Als der Erste Weltkrieg begann, wurde er eingezogen, für seinen „Dienst am Vaterland“ als Frontkämpfer wurde er mit dem Eisernen Kreuz ausgezeichnet.
Etwa 1920 heiratete Hermann Hagenauer die zehn Jahre jüngere Rosa Dreyfuß (Dreifuss), geboren am 23. April 1899 in Schmieheim in der Ortenau, Tochter des Kaufmanns Viktor Dreyfuss und seiner Frau Sophie, geborene Grumbacher.
Als Wohnsitz wählten Rosa und Hermann Hagenauer nach ihrer Heirat etwa 1920/21 die Stadt Karlsruhe. Dort hatten schon 1902/1903 die älteren Brüder Nathan und David Hagenauer eine Metzgerei eröffnet. Ihrem jüngsten Bruder übertrugen sie nach dessen Hochzeit die Filiale als Eigentümer. In der Kaiser-Allee 19, Ecke Scheffelstraße in der dritten Etage war die Wohnung des jungen Paares. Am 26. Dezember 1921 kam der Sohn Kurt Siegfried zur Welt. Das einzige Kind, der Sohn Kurt Siegfried wurde 1932 nach der Grundschule in das Goethe-Realgymnasium eingeschult

Umgehend nach der Ernennung Adolf Hitlers zum Reichskanzler hatte der staatliche Terror gegen Juden im Frühjahr 1933 im Land neu begonnen und es war zur großangelegten und laut propagierten Boykottaktion gegen jüdische Geschäfte gekommen. Repressalien gegen jüdische Viehhändler und Metzger setzten bald ein, 1933 wurde ein Schächtverbot erlassen. Als in der Folgezeit die Einnahmen zurückgingen, dachte Hermann Hagenauer sicher bald – wie manche Deutsche, die unter dem NS-System zu leiden hatten – an Emigration, noch bevor seine wirtschaftliche Existenz komplett vernichtet war. Doch die Entscheidung zur Auswanderung traf er schließlich nicht selbst. Die Ursache dafür liegt in der Familiengeschichte begründet.
Der Vater Benjamin Hagenauer stammte aus dem Elsass. Mit dem Friedensvertrag von 1871 nach dem deutsch-französischen Krieg fielen Elsass und Lothringen an das neu gegründete Deutsche Kaiserreich. Die Bewohner wurden „Reichsdeutsche“. Wer dies nicht wollte, musste sich für die französische Staatsbürgerschaft entscheiden, seine bisherige Heimat verlassen und seinen Wohnsitz in Frankreich nehmen. Benjamin Hagenauer blieb an seinem Heimatort und heiratete etwa 1873/74 die Tochter Mina des badischen Metzgermeisters Seligmann Fuchs aus Weingarten. Ihr erstes Kind, der Sohn Albert kam im August 1875 in Bergheim/Elsass zur Welt. Im Oktober des nächsten Jahres 1876 wurde die Tochter Bertha in Weingarten geboren, wohin die Familie gezogen war und wo der Vater Benjamin eine Metzgerei betrieb.

Die Herkunft des Vaters nahm 1934 die nationalsozialistische Regierung zum Anlass, Hermann Hagenauer „vorzuladen um ihm zu erklären, er sei Franzose“. Charles Henry Guérin, französischer Konsul in Karlsruhe, „stellte ihm daraufhin einen französischen Pass aus“, schrieb der Sohn Kurt viele Jahre später im so genannten Wiedergutmachungsverfahren. Auf seine Bitte um Einsicht in die Einbürgerungsakten von 1920, worin ihm die badische Staatsbürgerschaft übertragen worden war, erteilte das Pass- und Meldeamt den Bescheid, es könne nicht bestätigt werden, dass sein Vater Hermann am 28. Januar 1920 in den deutschen Staatsverband eingebürgert worden war, weil die Akten nicht mehr vorhanden seien. Erhalten war jedoch folgende Aktennotiz von 16. September 1935: « Die Einbürgerung des Hermann Hagenauer wurde mit Erlass des Herrn Minister des Inneren vom 13.7.1935 Nr. 63123 widerrufen. Der Widerruf erstreckt sich nicht auf die Ehefrau, jedoch auf den Sohn Kurt. »
Hermann Hagenauer wurde, nachdem 1935 seine Einbürgerung widerrufen worden war, sicher ein Termin gesetzt, bis zu dem er das Land zu verlassen hatte. Ende 1935 verkaufte er das Inventar seines Metzgerbetriebes, nach Aussagen des Sohnes zu einem Schleuderpreis an einen Metzgermeister Baumann.
Schon im Dezember 1935 war der Metzgermeister Reinhold Baumann neuer Besitzer der Metzgerei in der Schillerstraße 16, fast nahtlos wurde der Betrieb weitergeführt, die Versorgung der Menschen im Quartier war gesichert.
Der genaue Zeitpunkt der „Auswanderung“ von Hermann Hagenauer und seines Sohnes Kurt ist ungewiss, seine Frau Rosa konnte glücklicherweise in der Vorholzstraße 38 beim Schwager Nathan und seiner Frau Thekla unterkommen, wahrscheinlich wartete sie dort auf ihren Reisepass für das Ausland.
1936 war die ganze Familie in Straßburg angekommen. Sie schrieb vielleicht schon zu diesem Zeitpunkt den Familiennamen in der französischen Schreibweise „Haguenauer“, den möglicherweise schon der französische Konsul mit der Ausstellung des französischen Passes benutzt hatte. Aus Hermann war Armand und aus Siegfried Kurt nun Claude geworden.
Eine selbstständige Existenz konnte die Familie nicht wieder begründen. Hermann Hagenauer bekam eine Anstellung als Viehaufkäufer bei einem Händler des dortigen Schlachthofs. Sein anfänglicher Lohn von 3.000 französischen Francs erhöhte sich in den folgenden Jahren auf umgerechnet etwa 500 Reichsmark. Doch 1939 konnte er diese Tätigkeit nicht mehr ausüben. Während der Arbeit hatte er sich eine Phlegmone, eine eitrige Entzündung, zugezogen. Diese verschlimmerte sich in einer Zeit ohne Antibiotika schließlich derart, dass sein linker Arm amputiert werden musste.
Als bei Kriegsbeginn 1939 die Zivilbevölkerung evakuiert wurde, kam Familie Hagenauer nach Lyon. Der Pass von Hermann Hagenauer, „sein Identitätspapier entsprach nicht den polizeilichen Vorschriften, da er sich zur Zeit der Registrierung, auch der französischen Juden nicht bei der Polizei gemeldet hatte“ und sein Pass deshalb auch nicht mit einem „J“ gekennzeichnet war, schrieb der Sohn später. Um nicht aufzufallen, verließen sie ihre Wohnung in Lyon nie. Sohn Claude schilderte in seiner eidesstattlichen Versicherung die besondere Problematik für seine Eltern: „Mit der Besetzung Lyons durch deutsche Truppen im November 1942 wurde die Situation … sehr kritisch, weil sie der französischen Sprache nicht mächtig waren. Sie besorgten sich falsche Pässe, der von Rosa Hagenauer lautete auf Rosine Dreyer. Sie verließen ihre Wohnung in der Avenue de Saxe Nr. 78, ohne sie aufzugeben“. Sie fanden Unterschlupf in der Rue de la Ruche in Montchat – Lyon bei Familie Petitpierre. Der 21-jährige Sohn Kurt, der nun Claude hieß, arbeitete bis zu seiner Verhaftung als Installateur und Klempner für die Firma „Bodevigie“ in Lyon und unterstützte die Eltern finanziell. Bekannte (Franzosen) holten ihre Lebensmittelkarten ab, kauften für sie ein, sie selbst wären ja sofort aufgefallen.
Doch sie wurden bei der Gestapo denunziert. Am 26. Juni 1944 wurde Hermann Hagenauer in der Wohnung verhaftet. Er wurde in Montluc bei Lyon interniert, dann nach Drancy überstellt, und am 31. Juli 1944 nach Auschwitz deportiert. Dort wurde er wegen seines amputierten Armes, und damit kaum zwangsarbeitsfähig, wohl unmittelbar nach der Ankunft ermordet, das Datum 5. August 1944 wird in einigen Quellen erwähnt. Seine Ehefrau Rosa „hatte sich hinter die nach innen aufgehende Zimmertür gestellt und blieb so den Häschern verborgen.“ Ab dem 31. August 1944 musste sie nicht mehr illegal und in Verstecken leben, Frankreich war von den alliierten Truppen befreit worden. Seine eigene Verhaftung, die er überlebte, hat Claude Hagenauer nur im Hinblick auf den Gesundheitszustand seiner Mutter erwähnt. Er schrieb, die Verhaftung von Mann und Sohn führte zu einer „nahezu vollständigen Schlaflosigkeit“. Sie sei auf die ständige Einnahme schwerer Medikamente angewiesen gewesen, die zu schwerer Nierenschädigung führte“. Rosa Hagenauer ist daran am 11. Februar 1946, im Alter von 45 Jahren in Lyon gestorben.
(Christa Koch, Dezember 2013)
Nachtrag 2018:
In Frankreich wird Kurt Hagenauer (Claude Haguenauer) als Angehöriger der Résistance geführt. Inzwischen ist auch nachvollziehbar, dass Kurt Hagenauer kurz nach seinem Vater verhaftet und Anfang August 1944 über Drancy nach Auschwitz kam. Er wurde zur Arbeit selektiert, überlebte, erlebte die Auflösung von Auschwitz und kam am 30. Januar 1945 in das KZ Mauthausen. Am 16. Februar 1945 wurde er in das KZ Gusen verlegt, wo er am 5. Mai 1945 befreit wurde.
Ein herzliches Dankeschön an das Stadtarchiv Karlsruhe, das uns die Biografie als Vorlage für unsere Arbeit zur Verfügung gestellt hat.
Die originale Version können Sie hier lesen : http://gedenkbuch.informedia.de/index.php/PID/12/name/1456/suche/H.html

Contributeur(s)

Stadtarchiv Karlsruhe, pour la mise de la biographie à la disposition pour notre travail, à Greta Hamidi, volontaire allemande au Mémorial de la Shoah à Paris et à Léon Senner, étudiant de Sciences Po à Paris.

Reproduction du texte et des images

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