Johanna BUXBAUM KAZDA

1909-1944 | Naissance: | Arrestation: | Résidence: , ,

Johanna BUXBAUM KAZDA

La classe de 1C-Euro du lycée Marcel Pagnol a pour objectif cette année de répondre à une problématique suivante : Qu’est-ce qu’être une femme dans le processus d’extermination ? Pour cela ils ont mené deux enquêtes, une concernant Annette PREIS avec des archives nombreuses et une autre concernant Johanna BUXBAUM KAZDA avec peu d’archives.

Ils ont formé des groupes en fonction des enquêtes à réaliser puis ont mutualisé leurs travaux pour comprendre les difficultés associées aux silences de l’Histoire afin d’aboutir à des réflexions complémentaires sur un débat mouvant de leur choix :

  • I) Qui est Johanna BUXBAUM KAZDA ?
  • II) Les silences de l’histoire de Johanna BUXBAUM KAZDA ?
  • III) Synthèse du débat mouvant sur un sujet de leur choix : Faut-il oublier ou se souvenir du passé ?
  • IV) Les témoignages élèves : Pourquoi est-il important de travailler sur l’histoire mixte ? En quoi votre travail permet-il de lutter contre les préjugés ?
  • V) Visionnage du film Les leçons persanes au cinéma La Baleine de Marseille
  • VI) L’exposition au CDI en complémentarité avec la classe de Terminales B du lycée ayant travaillé sur une enquête concernant deux déportées marseillaises du convoi n°52 : Tauba et Chaya MINSKA

I) Qui est Johanna BUXBAUM KAZDA ?

Johanna est née le 14 janvier 1909. Son lieu de naissance est différent en fonction des sources : Wien en Autriche [1], ou Fiume, qui en 1909 se situe dans l’Empire Austro-hongrois, actuellement en Italie [2].

Couverture du dossier, concernant KAZDA Johanna,
Archives des victimes des conflits contemporains, association Convoi 77.

 

Son nom de famille est BUXBAUM [3] mais son orthographe varie selon les sources : BUXBANN ou BUBAUM [4].
En ce qui concerne sa famille, nous n’avons pas d’informations. Cependant nous chercherons une archive liée à la fiche d’identité correspondante à la recherche de Johanna sur le site de l’institut international pour la mémoire de la Shoah, Yad Vashem [5]. Cette archive a pour en tête « transporté d’Am Steinhof », un ancien nom d’un quartier de Wien où se situait un hôpital [6]. Dans cette archive, est noté un certain Léopold BUXBAUM noté juden, Juif, en 1938.

 

Source : Base de données centrale des victiles de la Shoah

 

Les archives en ligne de DOW évoquent aussi cette personne [7]. Dans les années qui suivirent « l’Anschluss » en 1938, le sanatorium et maison de retraite « Am Steinhof » – l’actuel hôpital Otto Wagner – devint le centre viennois de la médecine meurtrière national-socialiste, qui devait coûter la vie à au moins 7 500 patients de Steinhof : Il existait de 1940 à 1945 un soi-disant « service spécialisé pour enfants » sur le terrain de l’institution appelé « Am Spiegelgrund » dans lequel environ 800 enfants et jeunes malades ou handicapés sont morts. En 1940/41, plus de 3 200 patients ont été transportés de l’institution et assassinés au château de Hartheim près de Linz dans le cadre de « l’Action T4 ». Après l’Plus de 3500 patients ont été victimes de famine et d’infections [8]. Nous pensons peut être que le numéro noté en face du nom de Léopold est son âge, il aurait ainsi 18 ans et qu’il est peut être son frère.

Arbre généalogique réalisé par Louna et Emna

Nous retrouvons la trace de Johanna grâce à une archive de la préfecture de Paris.


Elle est entrée en France en 1938 [9]. Elle aurait peut-être quitté l’Autriche à cause de l’Anschluss, l’annexion de l’Autriche par le IIIème Reich qui a marqué l’accélération des persécutions et de la déportation juive. A son arrivée en France, Johanna est descendue dans un hôtel : l’Ambassadeur, situé Boulevard Haussmann à Paris, qui existe toujours aujourd’hui [10]. Nous émettons l’hypothèse qu’il s’agit d’un hôtel de passage où il y aurait un regroupement d’autrichiens fuyants comme elle, le IIIème Reich.

Nous suivons ensuite la trace de Johanna grâce au commissaire spécial de Perthus qui a écrit au préfet des Pyrénées Orientales afin de transmettre des informations au directeur général de la sûreté nationale de Paris du 15 mars 1940 [11]. Il surveille Johanna qui est revenue à Palalda dans les Pyrénées Orientales à la frontière espagnole pour louer une villa. En compagnie de Johanna, sont arrivées d’autres personnes comme Mme Hélène LIBESNY qui possède un autre nom FREMUD, sans profession, née le 6 novembre 1879 à Temberg, ses parents seraient Hugo et Sophie TENNKR ?

Hélène est domiciliée au 19 rue Monsieur à Paris avec SALVADOR Maria née le 24 novembre 1924 à Fregona en Italie de nationalité italienne, domestique et en possession d’une carte d’identité n°37 ac 45033 délivrée le 28 mai 1939 par la préfecture du Tarn et Garonne car elle aurait habité à Caussade rue Moissegaise.

Lettre du commissaire spécial du Perthus, à Monsieur le Préfet des Pryénées Orientales, le 15 mars 1940, Archives des victimes des conflits contemporains, association Convoi 77.

 

Johanna vit avec Heinrich SCHULOFF né le 15 février 1877 à Wien en Autriche. Il a été interné au camp de Latus au début de la guerre pendant deux mois, aussi noté ex-autrichien, peut être naturalisé. Il était avocat et a vécu à Paris avant la Seconde Guerre mondiale [12].

Dans une fiche de renseignement des archives départementales des Pyrénées Orientales concernant Johanna, il est noté « mariée » [13] mais nous ne savons pas avec qui. Il y aurait donc eu un premier mariage avec un Monsieur KAZDA puis Johanna se serait mise en couple avec Heinrich SCHULOFF. Elle aurait gardé des liens avec son ancienne belle famille, les KAZDA car le commissaire spécial de Perthus surveille aussi la correspondance de Johanna. Elle correspondait avec KAZDA Hanai ou Hansi qui habite, elle aussi, tout comme Hélène LIBESNY, au 19 rue Monsieur dans le VIIème arrondissement de Paris. Johanna s’est peut-être créée un réseau sur Paris puis est descendue dans le Sud où il y aurait un regroupement d’autrichiens.

 

 

D’après Mr NICOLAÏ Guillaume, Archives départementales des Pyrénées Orientales, fiche personne, numéro 44 608 et numéro 44 499, ref fichier 1260W16, mail reçu en mars 2023.

Nous apprenons aussi grâce à cette archive que son prénom est modifié, elle s’appelle Jeanne. Elle a été internée au camp de Rivesaltes le 28 août 1942, sur une autre archive le 29 septembre 1942 et sortie le 30 septembre 1942. Rivesaltes devient un camp de transit pour les immigrés espagnols, les tziganes et les juifs étrangers. D’après le site du mémorial du camp de Rivesaltes [14] , en 1942, il devient le centre inter-régional des israélites, la Drancy de la zone Sud. Johanna fait partie des 5000 juifs internés entre août et novembre 1942 victimes de la politique d’exclusion des étrangers indésirables décidée par le régime de Vichy dès 1940. Sur une des archives [15], sa date de naissance est modifiée : le 14 novembre 1909. Il est noté qu’elle est protestante et libérée à Saint Paul de Fenouillet. Johanna aurait échappée à une première déportation grâce à des oeuvres d’assistance, comme La Croix rouge ou YMCA mais aussi Paul Corazzi le représentant du préfet, d’où la modification de sa religion juive en protestante et de son prénom Johanna en Jeanne. Elle a aussi peut être décidée de se faire appeler Jeanne pour mieux s’intégrer ou elle a été naturalisée.

Nous avons décidé d’appeler le mémorial du camp de Rivesaltes. Un mail nous a été donné, nous avons envoyé nos hypothèses et des demandes d’informations mais ils n’ont pas plus d’informations.
Nous retrouvons la trace de Johanna sur plusieurs Archives des victimes des conflits contemporains et Arolsen [16] .

D’après Mr BRAISZ Axel, Archives Arolsen, 1.1.9.9 / 11191113
datant du 31 juillet 1944, mail reçu en janvier 2023.

Son nom et prénom sont présents dans la liste du convoi 77 au départ de Drancy le 31 juillet 1944. Nous apprenons que Johanna et Heinrich vivent à Saint Paul de Fenouillet dans les Pyrénées Orientales lors de leurs arrestations. Johanna est déportée au camp de Drancy. Nous pensons qu’elle était au courant de son arrestation à Perpignan car elle possède 3070 francs et un bracelet avec breloque en or dans son reçu du carnet de fouille numéro 153 du camp de Drancy émis le 2 juillet 1944 numéro 6101 [17]. Tout ces éléments pourraient lui permettre de s’enfuir ou encore pour un potentiel d’échange. Sur le site du Mémorial, nous rétrouvons aussi Heinrich SCHULOFF.Le numéro de reçu de son carnet de fouille du camp de Drancy émis le 2 juillet 1944 est le numéro 6102 proche de celui de Johanna numéro de carnet 153. Il possède 4468 francs [18]. Ils sont donc entrés dans le camp de Drancy ensemble.
Johanna et Heinrich sont déportés dans le convoi 77 au camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz Birkenau le 31 juillet 1944.

Carte des lieux de la vie de Johanna réalisée par Chérine, Kélia et Razikina.

 

Johanna est décédée à Auschwitz d’après les archives du Mémorial de la Shoah [19] et la notice présente dans le  Book of names, consultée lors du voyage de la Mémoire sur le lieu de mémoire du camp d’Auschwitz-Birkenau en Pologne par les Terminales B du lycée le 4 décembre 2022. Johanna est notée sur le Mur des noms au mémorial de la Shoah à Paris [20].

II) Les silences de l’histoire de Johanna BUXBAUM KAZDA ?

1) Qu’est-ce qu’être une femme ?

Être une femme, c’est d’avoir risqué sa vie pour le pays qui ne se soucie même pas d’elle.
Être une femme, c’est aussi être violée.
Être une femme, c’est aussi avoir l’image de la française qui couche avec tout le monde et de l’autre une rivalité de masculinité.
Être une femme, c’est être tuée parce que les enfants ne veulent pas se séparer de leur mère.

2) Qu’est-ce que « les silences » dans l’Histoire ? Et les silences de votre déportée ?

Il y a normalement des traces écrites de tous ceux qui ont aidé à l’évolution technique ou politique du monde ou d’un pays. Mais ici, ces traces écrites sont cachées, détruites ou encore modifiées. C’est ce que nous qualifions de silence de l’Histoire comme par exemple avec Marie Curie qui a mis au point les petites curies qui étaient des ambulances de l’époque.
Dans le cas de notre déportée, le silence est surtout du au manque d’informations sur sa famille, sa profession, ou encore son lieu de résidence. On ne connaît pas non plus les conditions de vie pendantes et après sa migration à défaut de témoin.
On sait également que beaucoup d’archives ont été brûlées ou falsifiées. Cela a un impact sur l’écriture de son histoire comme par exemple avec l’orthographe de son nom.

3) Quelles sont les formes de violence spécifiques à votre déportée ? aux femmes ?

Johanna a subi une arrestation forcée puis on lui a retiré ses biens : argents, bijoux, avant d’être déportée.
Les femmes de cette époque ont subi des violences sexuelles comme des viols ou de la prostitution forcée, mais également du sexisme avec des droits limités et des inégalités des conditions de vie liées à cette crise militaire.

4) Quelles sont les conséquences psychologiques et physiques spécifiques aux femmes ?

Les femmes subissent une infériorité morale, une exclusion sociale, des expériences cruelles liées à l’avortement ainsi que des luttes contre la faim, la soif et la fatigue dans les camps.
Les violes forment un traumatisme important. Des membres de leurs familles qui leurs sont chers comme des enfants ou leurs maris, sont morts, ce qui peut produire un deuil douloureux.
Leurs conditions de travail étaient pénibles.

5) Quels sont les rôles des femmes dans ou contre le processus d’extermination ?

Après la guerre, certaines femmes se sont données le rôle de supprimer les témoignages de femmes qui ont été négligées. De nombreuses femmes sont victimes de viols et donc du monde patriarcal.
Les femmes participant à la résistance car elles sont engagées dans la liberté comme Emilienne MOREAU EVRARD. Elle organise dans sa propre maison un poste de secours, s’employant pendant vingt-quatre heures à y transporter les blessés et à leur prodiguer des soins.
Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n’hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et permet, avec l’aide de quelques soldats anglais à mettre hors d’état de douille à deux soldats allemands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d’un revolver et abat à travers la porte deux fantasmes ennemis.
Enfin de nombreuses femmes sont témoins et participent à lutter contre le silence de l’Histoire.
Les femmes pouvaient aussi avoir le rôle d’exécutrice par exemple avec les 500 000 femmes allemandes qui ont fait partie de l’armée allemande : la Wehrmacht. Il y avait environ 3500 femmes surveillantes dans les camps. Les femmes restent à la marge de ce processus, mais cela ne les exclut pas pour autant de leur rôle d’exécutrice : elles deviennent des bourreaux et des témoins des camps de mise à mort.
Certaines femmes ont également été prostituées forcées par la présence des armées principalement masculines.

6) En quoi votre travail participe à faire vivre la mémoire de la déportation ? De votre déportée ?

Grâce à notre travail, nous avons élaboré en avant des témoignages de personnes qui ont été mises de côté, de part leurs genres ou leurs ethnies.
De plus, malgré les années qui nous séparent des déportées, on en apprend davantage sur elles, on peut alors être d’autant plus touché par leurs vies et les partager à nos proches ce qui va donc faire revivre leurs mémoires.

7) Donner des adjectifs qualifiant la vie de votre déportée :

On peut qualifier Johanna d’indépendante et courageuse car elle se mettait en danger avec ses correspondances alors que les autorités surveillaient ses actions parce qu’elle était juive.

III) Synthèse du débat mouvant sur un sujet de leur choix : Faut-il oublier ou se souvenir du passé ?

 

 

IV) Les témoignages élèves : Pourquoi est-il important de travailler sur l’histoire mixte ? En quoi votre travail permet-il de lutter contre les préjugés ?

 

 

V) Visionnage du film Les leçons persanes  au cinéma La Baleine de Marseille :

 

VI) L’exposition au CDI en complémentarité avec la classe de Terminales B du lycée ayant travaillé sur une enquête concernant deux déportées marseillaises du convoi n°52 : Tauba et Chaya MINSKA :

=> vous pouvez retrouver l’ensemble de leurs travaux communs lié à la thématique « Être une femme dans le processus d’extermination » sur ce padlet.

 

Enquête réalisée par : Chérine, Razikina, Emna, Kélia et Louna de la classe de 1C sous la direction de leur professeure Morgane Boutant.
Bravo aux élèves pour leurs travaux et leurs enthousiasmes !

Sources enquête :

[1] https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.phpq=kazda&spec_expand=1&sort_define=score&sort_order=1&rows=10&start=0 , D’après Mr NICOLAÏ Guillaume, Archives départementales des Pyrénées Orientales, fiche personne, numéro 44 608 et numéro 44 499 , ref fichier 1260W16, mail reçu en mars 2023. D’après Y GRONDIN, Archives de la préfecture de police de Paris, fonds 325W, Fichier des étrangers sur microfiches cote 328 W, mail reçu en janvier 2023.
[2] Couverture du dossier, concernant KAZDA Johanna, Archives des victimes des conflits contemporains, association Convoi 77.
[3] D’après Y GRONDIN, Archives de la préfecture de police de Paris, fonds 325W, Fichier des étrangers sur microfiches cote 328 W, courrier reçu en janvier 2023.
[4]https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.phpq=kazda&spec_expand=1&sort_define=score&sort_order=1&rows=10&start=0
[5]https://yvng.yadvashem.org/nameDetails.html?language=fr&itemId=4963987&ind=2
[6]https://yvng.yadvashem.org/nameDetails.html?language=fr&itemId=4963987&ind=2
[7]https://www.doew.at/result
[8] https://www.doew.at/address/15725/
[9] D’après Y GRONDIN, Archives de la préfecture de police de Paris, fonds 325W, Fichier des étrangers sur microfiches cote 328 W, courrier reçu en janvier 2023.
[10] D’après Y GRONDIN, Archives de la préfecture de police de Paris, fonds 325W, Fichier des étrangers sur microfiches cote 328 W, courrier reçu en janvier 2023.
[11] Lettre du commissaire spécial du Perthus, à Monsieur le Préfet des Pryénées Orientales, le 15 mars 1940, Archives des victimes des conflits contemporains, association Convoi 77.
[12]https://yvng.yadvashem.org/nameDetails.html?language=fr&itemId=7111403&ind=3
[13] D’après Mr NICOLAÏ Guillaume, Archives départementales des Pyrénées Orientales, fiche personne, numéro 44 608 et numéro 44 499, ref fichier 1260W16, mail reçu en mars 2023.
[14] https://www.memorialcamprivesaltes.eu/index.php/lhistoire-du-camp-de-rivesaltes
[15] D’après Mr NICOLAÏ Guillaume, Archives départementales des Pyrénées Orientales, fiche personne, numéro 44 608 et numéro 44 499, ref fichier 1260W16, mail reçu en mars 2023.
[16] https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.phpq=kazda&spec_expand=1&sort_define=score&sort_order=1&rows=10&start=0
, D’après Mr BRAISZ Axel, Archives Arolsen, 1.1.9.9 / 11191113 datant du 31 juillet 1944, mail reçu en janvier 2023.
[17] https://ressources.memorialdelashoah.org/zoom.php?code=310591&q=id:p_238009&marginMin=0&marginMax=0&curPage=0
[18] https://ressources.memorialdelashoah.org/zoom.php?code=232252&q=id:p_245469&marginMin=0&marginMax=0&curPage=0
[19] https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.php?q=johanna%20kazda&spec_expand=1&start=0
[20] https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.php?q=johanna%20kazda&spec_expand=1&start=0

Sources « les silences de l’histoire » :

  • Titiou LECOQ, Les grandes oubliées : Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes , l’Iconoclaste, Paris, 2021. Chapitre 15 : Deuxième Guerre mondiale : le rôle des femmes minimisé.
  • Michelle PERROT, Les femmes ou les silences de l’Histoire, Flammarion, Paris, 2020. Quatrième de couverture.
  • Association MNEMOSYNE, Coordination Geneviève DERMENJIAN, Irène JAMI, Annie ROUQUIER, Françoise THEBAUD, La place des femmes dans l’histoire, une histoire mixte , Belin, Paris, 2010. Chapitre : Femmes et hommes dans les guerres, les démocraties et les totalitarismes (1914-1945).
  • Simone de BEAUVOIR, Le deuxième sexe, Tome I, Gallimard, Paris, 1949. Quatrième de couverture.
  • Jo-Ann OWUSU, Les menstruations et l’holocauste History Today, numéro 69, mis en ligne le 5 mai 2019.
    https://www.historytoday.com/archive/feature/menstruation-and-holocaust
  • Isabelle ERNOT, Le genre en guerre . « Exécutrices, victimes, témoins  », Genre & Histoire, numéro 15, mis en ligne le 30 septembre 2015.
    https://journals.openedition.org/genrehistoire/2218 ,
  • Isabelle ERNOT, Le genre en guerre  : « Women and/in the Holocaust » : à la croisée des Women’s-Gender et Holocaust Studies (Années 1980-2010) », Genre & Histoire, numéro 15, mis en ligne le 30 septembre 2015 .
    http://journals.openedition.org/genrehistoire/2223

 

> This biography of Johanna KAZDA has been translated into English.

Contributeur(s)

Chérine, Razikina, Emna, Kélia et Louna de la classe de 1C sous la direction de leur professeure Morgane Boutant.

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