Rose LENDOWER

1907-1982 | Naissance: | Arrestation: | Résidence:

Rose LENDOWER (1907-1982)

© Archives familiales, Muriel Lendower

Les élèves de Terminale HGGSP1 du lycée Marcel Pagnol de Marseille ont mené une enquête historique afin de réaliser la biographie de Rose LENDOWER. Ils se sont appuyés sur des archives. Après qu’ils ont recoupé les sources, des hypothèses sont restées en questionnement : un réseau de lieu de mémoire et une rencontre avec des témoins leurs ont permis de finaliser la biographie en 2025.

ROSE AVANT LA GUERRE

Rose MIZREH est née à Batzi[1], Roumanie alors mais actuellement en Moldavie, le 18 décembre 1907[2]. Elle arrive en France avec ses parents, Aba et Pesca, née CLEIMAN, en 1920[3]. Son père est fourreur, de même que son frère, Maurice. Elle est la troisième d’une famille de dix enfants. Ses plus jeunes frère et sœur, les jumeaux Jacques et Madeleine sont nés à Milan en février 1921. La famille s’y est-elle installée provisoirement ? Madeleine, en tout cas, meurt à l’âge de 3 ans à Paris, le 16 novembre 1924.

Rose se marie à la mairie du Xe arrondissement de Paris, le 14 juin 1929 avec Jankiel, dit Jacques, LENDOWER, né le 10 décembre 1905 ou 1902 à Radzymin / Irena, en Pologne et qui est de nationalité polonaise[4]. Un contrat de mariage est établi la veille des noces. Un de leur témoin est Michel Krotenberg, beau-frère de Rose.

Jacques est tailleur et, lors de son mariage, réside 123, rue Montmartre. Sa mère vit à Paris.

Rose travaille dans une entreprise de fourrure comme mécanicienne[5].

@ Archives de la Ville de Paris. État-civil, mariages, 14 juin 1929, Paris X

 

Ils ont un fils[6], Joseph dit Georges, né le 14 décembre 1930 à Paris XIIe. Ils vivent au 50, rue du Faubourg du Temple, dans le XIe arrondissement, un quartier dont la principale activité économique est liée à la fabrication de tissus, de vêtements ou encore de chapeaux et où vivent de nombreux ouvriers et commerçants juifs, fraîchement ou non arrivés en France.

Jankiel LENDOWER, photo sur un monument à sa mémoire et à celle des deux frères de Rosa et son beau-frère assassinés à Auschwitz. (source : Mémorial de la Shoah)

Arbre généalogique de Rose LENDOWER réalisé par Chahinez, Lizy, Kélia, Tom et Yanis.

 

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre et la France déclarent la guerre à l’Allemagne nazie.

L’armée française, qui se bat entre mai et juin 1940, ne peut pas faire face. Philippe Pétain, qui dirige le gouvernement français, demande un armistice, qui est signé le 22 juin. Le 18 juin, le général Charles De Gaulle et sous-secrétaire d’État à la guerre pendant l’éphémère gouvernement de Paul Reynaud, parti à Londres avec des militaires qui refusent la capitulation, avait lancé un appel à la résistance du peuple français.

Est-ce à ce moment que Rose a décidé de rentrer en résistance contre l’occupant nazi ?

Alors que le gouvernement de Vichy (ville où il est réfugié) accepte la partition de la France en deux zones et met en place une politique de collaboration avec le IIIe Reich, les Juifs en France sont rapidement désignés comme des indésirables. Les Français suivent et accompagnent la politique nazie de discrimination. Les Juifs de la zone occupée sont obligés de se déclarer à la police française pour être recensés et donc fichés (27 septembre 1940) ; de nombreux domaines professionnels leur sont interdits, de même que l’accès à des espaces publics (squares, wagons de métro excepté le dernier). Dès 1940, des Juifs sont arrêtés. Depuis le 3 et 4 octobre, en effet, les préfets ont le droit d’interner des « étrangers de race juive » dans des « camps spéciaux ». Puis ce sera la déportation vers des camps en Pologne.

Rose est directement confrontée à ces arrestations arbitraires. Son mari Jacques est arrêté, en même temps que 3709 autres Juifs, et conduit au gymnase Japy le 14 mai 1941 lors de la « rafle du billet vert », emprisonné à Pithiviers, puis déportée de ce camp du Loiret dans le convoi 4 vers Auschwitz-Birkenau, le 25 juin 1942.

Selon sa famille, Rose est également devenue résistante car elle voulait être une femme libre pour des raisons personnelles, et par le sens du devoir. Et elle entre très tôt dans le combat.

D’après le certificat d’appartenance à la Résistance intérieure française signé après la guerre par le colonel BELINET[7], Rose s’engage dès 1942 auprès du Front national de lutte pour la Libération de la France, (créé en 1941 par le parti communiste français) et ce jusqu’au jour de son arrestation. Elle est active dans l’UJRE : l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide, à Lyon, d’après une attestation signée par A. WERKHAISER[8].

L’UJRE, comme l’indique le commandant FFI Jean Gay, « a été dans notre département le seul groupement juif ayant pratiquement fait de la résistance et reconnu par le C.D.L/ à la Libération ».

Elle obtient le grade « de soldat de seconde classe » en 1950 au titre de la Résistance Intérieure Française (RIF).[9].

@ SHD Vincennes Dossier 16 P 421 792

Source : SHD Vincennes, dossier GR 16 P 421 792

Rose participe à la Résistance en distribuant des tracts, en collectant des vêtements et s’occupant d’enfants de déportés[10]. Elle récolte des vivres par ses propres moyens, alors que le ravitaillement est très difficile, pour aider à nourrir les enfants juifs cachés, ou non.

Ces actes de résistance sont certifiés par le liquidateur du réseau du mouvement Front national de lutte pour la Libération de la France, qui évoque aussi son arrestation « après une répartition de matériel à Lyon »[11].

Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD de Caen DAVCC, Dossier n°21 P 561 429.

Sans doute après l’arrestation de son mari en mai, Rose a quitté Paris où elle vivait pour Lyon. Elle s’installe en 1941 chez sa sœur, Pauline (Peila dite Paulette) et son mari Michel KROTENBERG. Elle y réside encore en 1944, au 66, grand-rue des Feuillants, et travaille au 62, boulevard des Brotteaux dans un atelier de fourrure que loue son frère aîné, Joseph MIZREH[12]. Son fils Georges est mis en sécurité, sans doute à la campagne.

Rose mène très discrètement ses activités de résistance, ce qui est prudent, et utilise des faux papiers non marqués de l’étoile juive[13] Dans son dossier pour faire valoir ses droits à une reconnaissance de son action et à une pension, Rose a indiqué le nom de Mme TIPPERMAN comme une de ses camarades du mouvement[14].

L’ARRESTATION LE 4 JUILLET 1944

Des témoins assistent à l’arrestation de Rose à l’atelier de fourrure de son frère. Madame MERLE et Madame RAVEL ont certifié que Rose est arrêtée par la milice française et les membres de la Gestapo le 4 juillet 1944[15]. Ses frères et son beau-frère, Menachem (dit Michel) Krotenberg, sont également arrêtés.

Rose se déclare comme juive aux miliciens venus l’arrêter.Même si les résistants juifs sont pour la plupart conduits à Drancy pour être déportés comme juifs, aucune trace de l’action résistante de Rose Lendower ne semble être parvenue aux nazis, qui l’internent et la déporteront comme « juive ».

@AD du Rhône 3335 W 27 Dossier n° 8469 Libérés et rapatriés

Elle est emprisonnée, avec ses frères et beau-frère, à la prison du Fort Montluc et y reste enfermée du 4 au 22 juillet 1944[16]. Le 22, de nombreux prisonniers juifs de Montluc sont transférés par train à Paris. Rose est ensuite internée au camp de Drancy du 24 au 31 juillet 1944[17]. Elle est déportée, par le convoi 77, le 31 juillet 1944 au camp de d’extermination d’Auschwitz Birkenau[18].

LA DÉPORTATION

Après un très éprouvant voyage de trois jours et nuits, Rose est sélectionnée pour travailler dans le camp. Elle y est tatouée sur l’avant-bras du numéro A16656[19].A l’arrivée à Auschwitz, elle a été séparée de ses frères et de son beau-frère, qu’elle ne reverra jamais.

Rose est détenue dans ce camp jusqu’à la fin du mois d’octobre 1944[20]. Des listes attestent de sa déportation dans d’autres camps. D’abord à Bergen Belsen, en Allemagne, de novembre 1944 à février 1945[21]. Puis, elle est enregistrée dans une liste de transfert de 500 détenues lié à un ordre officiel du 6 décembre 1944 du camp de Bergen Belsen vers Raguhn, un camp satellite de Buchenwald. A Buchenwald, elle porte le numéro 67296, comme l’atteste la liste de déportées politiques de ce camp datant de mars 1945. Ginette Kolinka fait partie, comme Rose, des femmes désignées pour rejoindre ce très dur Kommando, sur une base aérienne où l’on fabrique des pièces d’armes. Du convoi 77, d’autres femmes telles Marcelle Stark, Carmen Menaches et Marie Broder partagent son sort.

Rose est à Raguhn du 12 février au 10 avril 1945[22].Puis, à la fermeture de ce Kommando, elle est transférée avec environ 480 déportés encore en vie dans des wagons à bestiaux au camp-ghetto de Terezin (Theresienstadt), en Tchécoslovaquie, dans un très éprouvant voyage de huit jours et huit nuits. Elle y reste jusqu’au 6 mai 1945[23], jour de sa libération par les partisans tchèques et l’Armée rouge.

L’APRÈS-GUERRE

A partir de juin, commence pour les libérées du camp le périple du rapatriement en France.

Carte des lieux de la vie de Rose LENDOWER réalisée par Dewene et Elsa.

Rose est rapatriée par avion de Pilsen à Lyon-Bron le 5 juin 1945, d’après sa carte de rapatriement n°I.020.909. Le voyage en avion était réservé aux déportées en très mauvaise santé. Elle rentrera ensuite à Paris, puis passera du temps en sanatorium.

Sa santé est affectée

Un document du centre de réforme de Paris[24], indique que Rose a des séquelles importantes liées à sa déportation : une tuberculose pulmonaire, un pneumothorax gauche, un silence respiratoire à gauche et quelques tractus sous claviculaires droits. Les séquelles dont elle souffre sont attestées comme « contractées au cours de la déportation ». Le 15 janvier 1951, le médecin-chef a estimé que sa pension temporaire devait être de 100%. Elle est alors classée comme « résistante » et le médecin estime qu’elle doit être revue trois ans après. 

Statut de Déporté Résistant : refusé

Pour recevoir une pension et faire valoir les services qu’elle a rendus dans la Résistance, Rose va devoir constituer un dossier. Commence alors un véritable parcours du combattant.

En 1947, Rose fait une demande de reconnaissance de son action résistante pour obtenir le statut de Déporté Résistant. En février 1947, l’UJRE atteste de son action « depuis la fin de l’année 1942 jusqu’en juin 1944, date de sa déportation ». Elle envoie les attestations officielles le 22 mars 1949, expliquant que son retard est dû sa maladie.

Ce statut lui est refusé en mai 1949. Elle fait appel de la décision, mais sans succès, bien qu’un certificat prouvant son activité lui ait été remis le 4 octobre 1950.

La raison avancée pour ce second refus, en 1950, est qu’elle ne fournit qu’une attestation et pas de témoignages.

Source : SHD dossier GR 16 P421 792. Refus de l’attribution du titre de Déporté-Résistant, 11 mai 1949.

Seul le statut de déporté politique lui est attribué malgré l’ensemble des démarches effectuées[25].. Sa carte de déporté politique porte le numéro 210110805[26].. Elle reçoit le paiement du pécule destiné aux déportés politiques[27].

Archives familiales

Naturalisée française

En 1946, Rose fait une demande de naturalisation et obtient la nationalité française le 6 mars 1948.Elle habite alors à Paris au 151, boulevard Magenta. En septembre 1954, elle déménage au 52, fbg Poissonnière, dans le Xe arrondissement.
Elle recouvre la santé et ouvre une boutique avec son fils.
Rose est décédée le 26 décembre 1982, rue de Picpus à Paris, à la maison de retraite où elle résidait.Son nom figure sur le Mémorial de la Shoah à Paris et sur le monument commémoratif de Lyon.

Une famille marquée par la Shoah

Les deux frères de Rose, Maurice (né en 1913) et Joseph (né en 1903) ne sont pas revenus de déportation, de même que son beau-frère Michel.Au moins trois de ses frères étaient encore en vie après la guerre : Serge (1910-2002), Robert (1919-2016) et Jacques (1921-1996), qui fut lui aussi résistant, homologué FFI. Sa sœur Pauline faisait encore des démarches en 1969 pour savoir ce qu’il était arrivé à son mari, Michel.Ses parents n’ont pas été déportés.

Plaque commémorative @Mémorial de la Shoah / Coll. Serge Klarsfeld.

RENCONTRE AVEC LES PETITS-ENFANTS DE ROSE

Nous avons rencontré les petits-enfants de Rose, Muriel et Olivier, en visioconférence. Ils ont accepté de répondre à nos questions et nous les en remercions vivement.

Voilà leurs réponses :
Muriel, sa petite-fille, a réussi à rassembler les archives il y a dix ans.

Rose est devenue résistante car elle voulait être une femme libre pour des raisons personnelles, par le sens du devoir et parce que ses proches ont été déportés.

Elle a utilisé des faux papiers pendant la guerre.Elle s’est remise de ses maladies.

Après son retour de déportation, elle a ouvert une affaire de prêt à porter avec Georges.

Elle ne s’est jamais remariée, elle a vécu seule avec son fils Georges, un enfant caché qui n’a jamais parlé de la déportation à ses enfants.

Rose a été très entourée de sa famille proche.

Elle a caché avoir un numéro tatoué sur le bras droit : A 16656, en disant que c’était une piqûre d’abeille.

Rose n’a pas voté en 1945, après que les Françaises ont obtenu le droit de vote et d’être élues en 1944. Elle est dans un sanatorium en Suisse pour des problèmes pulmonaires. Surtout, elle n’a pas la nationalité française (naturalisation en 1948). Son dossier de Caen indique qu’elle a fait une demande de naturalisation en 1946.

Rose a continué à être engagée après la guerre, mais elle n’est plus communiste après la guerre.

Rose ne parlait pas beaucoup, mais était surtout entourée de ses proches.

Georges, le père de Muriel et Olivier s’est occupé de Rose jusqu’à sa mort[28]. et il a pris soin de Clémentine sa petite chienne, après le décès de Rose.

Les descendants ne savent pas s’ils ont de la famille en Moldavie, s’ils sont décédés ou s’ils ont survécu à la Shoah.

LE COMPTE RENDU DES ÉLÈVES DE LA CLASSE DE TERMINALE HGGSP1 DU LYCÉE MARCEL PAGNOL DE MARSEILLE

 

En quoi votre travail participe-t-il à faire vivre la mémoire de Rose LENDOWER ?

Pourquoi est-il important de travailler sur l’histoire mixte ?

BRAVO et merci pour leur implication et leur travail à :
Chahinez, Asna, Elyes, Eva, Guilherme, Tom, Cassandra, Xavier, Gabriel, Alexandre, Kélis, Quentin, Mehdi, Annie, Sarah, Kélia, Sana, Lizy, Alisson, Jessee, Soukeyna, Elsa, Jasmine, Yanis, Rayan et Dewene.

Notes & références

[1] Certificat de nationalité datant du 22 septembre 1950, LENDOWER Rose, SHD de Caen DAVCC, Dossier n°21 P 561 429.

[2] Échange en visio avec les petits enfants de Rose le 4 février 2025.

[3] Archives familiales

[4] Jankiel LENDOWER, Mémorial de la Shoah, https://ressources.memorialdelashoah.org/notice.php?q=jankiel%20lendower&spec_expand=1&start=0

[5] Enquête sur l’arrestation de Rose datant du 7 février 1952, LENDOWER Rose, SHD de Caen DAVCC, idem

[6] Archives familiales

[7]  Certificat d’appartenance à la résistance intérieure française datant du 4 octobre 1950, LENDOWER Rose, Dossier SHD Vincennes,16 P 421 792

[8] Attestation de l’Union des juifs pour la résistance et l’entraide datant du 24 février 1947, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[9] Attestation du Front national de lutte pour la Libération et l’indépendance de la France datant de 3 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD, Vincennes, idem.

[10] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[11] Attestation du front national de lutte pour la Libération et l’indépendance de la France datant de 3 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[12] Enquête sur l’arrestation de Rose datant du 7 février 1952, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[13] Échange en visio avec les petits enfants de Rose le 4 février 2025.

[14] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[15] Enquête sur l’arrestation de Rose datant du 7 février 1952, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem. Archives du Rhône, 3335W

[16] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[17] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[18] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[19] Échange en visio avec les petits enfants de Rose le 27 janvier 2025.

[20] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[21] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[22] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem. Sur les camps de Bergen-Belsen et de Raguhn, voir Anne-Lise Stern, Le Savoir-déporté, La librairie du XXIe siècle, Le Seuil, 2004 et Points Seuil.

[23] Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD Vincennes, idem.

[24] Document du centre de réforme datant du 19 mars 1951, Demande d’attribution du titre de déporté résistant datant du 17 décembre 1950, LENDOWER Rose, SHD, Vincennes, idem.

[25] Décision d’attribution du titre de déporté politique datant du 7 avril 1954, LENDOWER Rose, SHD de Caen DAVCC, idem. Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 421792.

[26] Archives familiales

[27] Paiement du pécule aux déportés ou internés politiques datant du 2 juillet 1956, LENDOWER Rose, SHD de Caen DAVCC, idem.

[28]  Échange en visio avec les petits-enfants de Rose le 4 février 2025.

Contributeur(s)

Biographie réalisée par les élèves de Terminale HGGSP1 du lycée Marcel Pagnol de Marseille.

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