Foire aux questions

Pour les professeurs, il faut avoir « un train d’avance ».

Donc l’idéal est de démarrer en mai ou juin l’année d’avant afin d’avoir le temps d’exploiter les archives envoyées par l’association Convoi 77, de chercher de nouvelles archives, et d’obtenir des financements.

Différentes fédérations ou fondations peuvent participer au financement de votre projet :

• La Fondation pour la Mémoire de la Shoah
• La Fédération Maginot peut aider à financer une sortie ou un voyage (elle participe au financement du trajet)
• La DPMA
• Le Souvenir français peut aider les projets en rapport avec les guerres.
• Les mairies : on n’y pense pas souvent mais cela peut les intéresser.

N’hésitez pas à demander de l’aide auprès de Convoi 77, des membres de l’association peuvent vous aider à compléter un dossier.

Oui tout est possible :

avec un élève, deux ou une classe entière…

C’est l’enseignant qui choisit « le cadre » dans lequel le projet sera mené.

Voici quelques idées :

• Regarder le fonds du Mémorial de la Shoah.
• A partir de la dernière adresse d’un déporté : on peut chercher dans le recensement de 1936, en général les villes les ont numérisés ils sont donc accessibles en ligne.
• Chercher les actes de naissance dans les mairies si la personne est née en France.
• Dans les archives départementales ou municipales en s’attachant à celles qui correspondent à la Seconde Guerre mondiale.
• Penser aux écoles : les registres ont souvent été gardés.
• Les Archives de Bad Arolsen

En principe non,

sauf si de nouvelles archives sont retrouvées et qu’elles apportent de nouveaux éléments.

Tout est possible.

Les contraintes liées à la situation sanitaire ont déjà obligé certains enseignants à mener le projet sur plusieurs années scolaires